Namibie du 16/06 au 23/06/2013

Nous poursuivons notre route, arrêt à la météorite de HOBA, le plus grosse météorite du monde, elle serait tombée il y a environ 80 000 ans, ce bloc de 54 tonnes contient 82% de fer, 16% de nickel, 0,8% de cobalt et des traces d’autres métaux. Difficile d’imaginer le fracas que ça a dû produire. Ce soir, camping à la ferme, une bonne nuit calme s’annonce mais les chiens en ont décidés autrement. Les aléas de la vie à la campagne…

https://picasaweb.google.com/lh/photo/Jk-Ae_LH3dGGHCpEVNgSzqd3XAVuJ5qjU8BZPZ2ynE0?feat=directlink

 

A  Grootfontein petite visite chez le spécialiste pour le camion, interversion des pneus avant-arrière droite-gauche. Nous sommes les premiers clients de ce nouveau garage donc nous avons droit à un prix tout à fait spécial avec en prime le café et le journal pour patienter, ça c’est du service !!!! . notre fidèle coursier bien à l’aise dans ses pneus nous filons prendre la piste C44 vers TSUMKWE (200 Km) puis ensuite la piste sablonneuse (59 km) qui nous conduit jusqu’au KHAUDUM Game Reserve comme le dit notre documentation : « une remarquable plongée au cœur de la nature »,  dès notre arrivée nous voyons un troupeau d’antilopes rouannes et beaucoup d’éléphants près des points d’eau et même un groupe d’éléphants sur la piste devant nous au détour d’un virage, qui nous oblige à une petite marche arrière et un moment d’attente et de surveillance le temps que ces mastodontes, qui nous surveillent eux aussi, dégagent les lieux, c’est tout de même assez impressionnant. Nuit dans le camp, très rudimentaire mais avec tout de même une douche que nous avons appréciée. Le lendemain de bon matin, nous sommes prêts pour rencontrer d’autres animaux, rapidement ce sont 3 jeunes lions qui sont là tout près de nous, l’un d’eux s’est trahi en levant la tête, nous passons un long moment à nous observer mutuellement puis il décident de partir et nous les suivons quelques minutes avant qu’ils entrent dans le bush, rencontre formidable qui nous laisse rempli d’émotions. Ensuite au gré des points d’eau, nous retrouvons des éléphants, des koudous, des gnous puis à partir de DUSSI  la piste devient très, très sablonneuse, sable très mou, ornières très profondes, nous sommes comme sur des rails peut-être que des véhicules ayant un moteur plus puissant s’en tireraient mieux mais nous, nous peinons. Nous avons doublé notre consommation moyenne de carburant, heureusement que nous avons de bonnes réserves. Nuit à l’autre camp du Park, face à une grande plaine de couleur jaune c’est beau, au loin 4 éléphants courent vers le point d’eau, nous irons voir le point d’eau demain car pour aujourd’hui ça suffit.

Dès potron-minet on se remet en route sur une piste pleine de fech-fech gris foncé, qui envahit le camion, on croise un troupeau de buffles et un peu plus loin une vingtaine de rapaces. Puis avec un peu de difficulté on trouve la sortie du Park, car il faut bien avouer que les informations sont données avec parcimonie, on nous a juste donné un plan succinct à l’entrée et les quelques noms de lieux qui auraient pu nous aider sont sur la piste, souvent illisibles ou effacés. Il nous reste 55 km jusqu’à la route B8, beaucoup, beaucoup de sable très mou, on a dégonflé à 1.4 mais on continue à peiner, à 10 km de la route, qu’on sentait déjà à portée de roues, un pneu a déjanté, on a essayé de regonfler mais notre compresseur a dû manger de la poussière, il n’a plus assez de force, il faut changer la roue, nous cherchons des morceaux de bois pour mettre le cric car à même le sable ce n’est pas possible, il s’enfonce, l’option de la plaque de désensablage sous le cric est finalement adoptée. Gros travail dans ce sable qui a la couleur du sable mais nous rend tout noir quand on le touche !!! Malheureusement je ne suis pas très utile à part chercher du bois, passer des outils, assurer l’approvisionnement en eau de mon mécano préféré qui se démène sous le camion sous 35°. 1h ½ après on repart et enfin la route B8 est en vue. En résumé, il nous aura fallu 7 h pour faire ces 55 km. Arrêt au premier camping qu’on trouve, à 12 km, pour une douche indispensable et un repos bien mérité.

 

les elephants:

 

https://picasaweb.google.com/111641867309192017609/ReserveGameKhaudumElephantsPica?authuser=0&authkey=Gv1sRgCP6r7MP5xq-fPg&feat=directlink

 

les lions:

 

https://picasaweb.google.com/111641867309192017609/KhaudumLions?authuser=0&authkey=Gv1sRgCLDI97i-otvMLA&feat=directlink

 

la grosse galère:     photos de bernadette

 

https://picasaweb.google.com/111641867309192017609/PisteKhaudumNordBernadette?authuser=0&authkey=Gv1sRgCOXLyK_DxdnGAw&feat=directlink

 

 

 

Le lendemain matin, après renseignements au  camping, il s’avère que nous devrons nous rendre à RUNDU à 100 km à l’opposé de notre direction pour  regonfler les pneus et faire le plein car à DIVUNDU, où nous devons aller il n’y a pas de garage et il n’y a pas toujours de carburant …  allez en route on n’a pas le choix. C’est ça aussi l’Afrique. On a fait une halte à RUNDU et le lendemain on s’est fait 200 km jusqu’à DIVUNDU, et on a constaté qu’il y avait du carburant mais aucun garage capable de regonfler nos pneus, donc on a fait le bon choix, pour nous récompenser  on s’est offert un beau camping  au bord de la rivière OKAVONGO, avec  spectacle assuré par des hippopotames dans l’eau et des éléphants sur la rive en face.

Encore un petit parc avant de quitter la Namibie, le MAHANGO PARK qui nous fait découvrir des hipotragues rouannes et des hipotragues noires et nous mène directement à la frontière du BOTSWANA.  Frontière qui se passe sans problème en une demi-heure les 2  frontières namibienne et botswanaise sont franchies. Un nouveau pays et de nouvelles découvertes nous attendent.

 

https://picasaweb.google.com/111641867309192017609/ParcMahangoPica?authuser=0&authkey=Gv1sRgCNrTuc3a282nZg&feat=directlink

 

 

 

 

 

 

Namibie du 12/06 au 15/06/2013

Ca y est, depuis le temps que nous en parlons, nous sommes à ETOSHA NATIONAL PARK  et c’est à la hauteur de nos rêves, 430 km parcourus dans le parc et quelques 1600 photos à nous deux, 3 jours et demi intenses, du lever au coucher du soleil et même après puisque les points d’eau des camps sont allumés la nuit, à admirer, à s’émerveiller de voir de si près tous ces animaux sauvages, une petite sélection de photos pour vous donner un aperçu.

 

https://picasaweb.google.com/111641867309192017609/Etosha1Pica02?authuser=0&authkey=Gv1sRgCOLOwsrOmIGQKg&feat=directlink

 

https://picasaweb.google.com/111641867309192017609/Etosha2Pica?authuser=0&authkey=Gv1sRgCPvY9-uAw_aARQ&feat=directlink

 

https://picasaweb.google.com/111641867309192017609/Etosha3Pica?authuser=0&authkey=Gv1sRgCK6P9N2Ek9SdSw&feat=directlink

 

 

 

 

 

Namibie du 03/06 au 11/06/2013

En direction de TWIFELFONTEIN nous nous arrêtons au Living Museum of the Damara, c’est un petit musée en plein air où des jeunes nous montrent comment vivaient leurs ancêtres, le forgeron, le tanneur, celui qui soignait avec les plantes, notre guide est un vieil homme qui se présente sous le nom de Otto Von Bismarck, impressionnant non !!! Cette petite visite se termine par chants et danses, folklorique mais très sympa mais je pense qu’au final leur vie d’aujourd’hui est restée assez proche de celle de leurs anciens.

 

https://picasaweb.google.com/111641867309192017609/MuseeDamaraPica?authuser=0&authkey=Gv1sRgCKf526H_3LL-ogE&feat=directlink

 

 

Cette nuit, camp ABA UHAB nous avions donné rendez-vous aux éléphants mais ils ne sont pas venus …, nous reprenons donc la piste, façon montagnes russes, à travers un paysage de collines recouvertes  de petites touffes d’herbes gris-vert et de gros massifs verts du plus bel effet, beaucoup de poussière. A Palwag nous passons  la « Barrière sanitaire »  une simple formalité, comme l’indique le guide Lonely : passage entre le monde civilisé et le monde en voie de développement, le bétail élevé au nord ne peut pas être vendu au sud, ni exporté vers des marchés étangers.

 

    

https://picasaweb.google.com/111641867309192017609/PaysagesDiversPica?authuser=0&authkey=Gv1sRgCNSLgIWag_q9Kg&feat=directlink

 

La barrière s’ouvre sur une grande piste poussiéreuse, arrêt de midi près d’une petite rivière, nous aurons la surprise de voir arriver 2 jeunes filles de la tribu HIMBA, elles sont un peu timides mais nous les invitons à s’approcher, elles montent dans le camion et font plein de commentaires entre elles, évidemment tout les surprend, dommage qu’on ne puisse pas vraiment communiquer mais ça nous a permis de voir de près leurs bijoux, leur habillement fait d’une simple jupe en peau d’animal, leur peau enduite d’un mélange de beurre, d’ocre et d’herbes, ce mélange est aussi appliqué sur les cheveux tressés leur donnant l’aspect de dreadlocks, elles sont de couleur ocre de la tête aux pieds.  Quand elles ont arrivées, Claude était en train de soigner une petite blessure au pied, il a donc fallu soigner l’une d’elles qui avait une  éraflure à la main. Nous avons été enchantés par cette rencontre inattendue et spontanée sans arrière pensée mercantile.  

 

https://picasaweb.google.com/111641867309192017609/RencontreImbaPica?authuser=0&authkey=Gv1sRgCOvSh6zondbiNA&feat=directlink

 

Direction PUROS, village dans le sable, à peine arrivés, nous voyons 2 éléphants dans le lit de la rivière, installation au camp et pendant que nous partons avec un guide pour visiter un village HIMBA, un homme s’occupera de chauffer, au bois, l’eau de notre douche. Evidemment cette visite est un peu décevante car on sent bien que c’est un boulot de se laisser photographier et de montrer le village, mais bon ça nous permet de découvrir leur quotidien.

 

 

https://picasaweb.google.com/111641867309192017609/VillageImbaPica?authuser=0&authkey=Gv1sRgCLGAhorPu5uqlgE&feat=directlink

 

Cette nuit les éléphants, ne sont pas venus nous saluer dans notre camp, pourtant de gros cacas ici et là attestent qu’ils viennent régulièrement. C’est nous qui iront les voir, nous roulons dans le lit de la rivière et là nous découvrons une petite source et des éléphants en train de boire, formidable. Maintenant, il nous faut reprendre la même piste qu’hier, donc très cassante, tôle ondulée, 4 heures de trajet soit 25 km/heure mais la récompense ce sont les girafes et les éléphants qui ont ponctués ce parcours.

 

https://picasaweb.google.com/111641867309192017609/PurrosPica?authuser=0&authkey=Gv1sRgCMGC_Oya0vKnXA&feat=directlink

 

Des vaches, des ânes, des pintades, des énormes termitières, de gros baobabs, la piste est bonne, une voiture en panne, on embarque un gars avec une pièce à faire réparer à OPUWO à 85 km. A OPUWO ce qui est surprenant c’est la diversité de la population, les femmes HIMBA demies-nues, couleur ocre qui partagent la même rue que les femmes HERERO avec leurs longues robes à plusieurs jupons, de l’époque victorienne et leurs coiffes en forme de corne et aussi le reste des habitants vêtues de façon « normale ». Tout se petit s’interpelle, discute, rit, bel exemple de cohabitation.

https://picasaweb.google.com/111641867309192017609/OpuwoPica?authuser=0&authkey=Gv1sRgCMCSrZHdk9fC2gE&feat=directlink

 

 

 

Piste facile, poussière évidemment, en cherchant une source d’eau que nous ne trouverons pas, nous découvrons un bel endroit avec une petite rivière qui serpente, des vaches et des chevaux qui paissent. Arrêt du soir à EPUPA FALLS CAMPSITE, emplacement N° 6 au bord des chutes, sous les cocotiers, c’est magnifique, une terrasse nous offre une vue plongeante sur les chutes dont l’énorme bruit a un peu perturbé notre sommeil mais ce n’est pas grave. Il faut quitter ce bel endroit pour en chercher d’autres, nous suivons la piste le long de la rivière KUNENE, c’est agréable, beaucoup d’oiseaux, cette piste débouchait sur une énorme chute d’eau à RUACANA mais depuis la construction d’un barrage en Angola, il n’a plus d’eau qui coule. Route C35 jusqu’à  KAMANJAB 298 km, 170 km de ligne droite, une voiture nous a doublés  km 178,  km 187 une descente et un virage! Au km 215 la fameuse barrière sanitaire, la viande du nord ne peut pas transiter vers le sud, les gardes nous piquent la viande qu’on venait d’acheter à RUACANA, quelle aventure … On s’offre une journée de repos à KAMANJAB, le camion et ses occupants ont besoin d’un rafraichissement …

https://picasaweb.google.com/111641867309192017609/EpupaFallsPica?authuser=0&authkey=Gv1sRgCLLBk_SK2Y-ALg&feat=directlink

 

 

 

 

 

 

Namibie du 29/ 05 au 2/06

Notre but du jour c’est la découverte des WELWITSCHIAS qui poussent uniquement dans cette partie du désert du Namib, ces plantes qui, il faut bien l’avouer ne sont pas belles, mais font preuve d’une adaptation remarquable à l’environnement hostile puisque la condensation du brouillard constitue leur principale source d’humidité, elles n’ont que 2 longues feuilles qui sont déchiquetées par le vent, qui semblent emmêlées, ces plantes croissent  très lentement, un spécimen remarquable est présenté entouré d’une clôture avec un panneau indiquant qu’il aurait environ 1500 ans, bel âge !! circuit d’environ 60 kilomètres qui se révélera quand même assez décevant dans l’ensemble

 

https://picasaweb.google.com/111641867309192017609/BloenkoopieWalvitchiaPica?authuser=0&authkey=Gv1sRgCIGnlae6__-5aQ&feat=directlink

 

 

Arrivé à Swakop on fait les touristes, promenade à pied dans cette  ville de vacances on se croirait un peu à Knokke avec ses jolies maisons, ses restos, ses cafés, ses boutiques de souvenirs et ses prix surfaits, on se paie un Fish&chips, la totale. Un petit peu d’internet et on prend la route du sel, la C34 qui longe la mer et nous conduira à HENTIES BAY, lieu consacré aux vacances et à la pêche, nous sommes en semaine c’est désert, on dormira près de la plage, beaucoup de vent.

https://picasaweb.google.com/111641867309192017609/SwakopPica?authuser=0&authkey=Gv1sRgCIT6y73w6N_T_AE&feat=directlink

Au lever, mauvaise surprise il y a du brouillard, on continue la route du sel pour aller jusqu’à CAPE CROSSE, cette réserve abrite une colonie d’otaries à fourrure qui est évaluée à 100 000 individus. C’est assez extraordinaire de les observer se passant les uns au dessus des autres, les petits en train de téter leurs mères, les coups de gueule des gros mâles pour défendre leur territoire, beaucoup de bruit, une odeur certes mais moins forte que celle que relataient les récits que nous avions lus, sur la mer d’énormes vagues ramènent les phoques sur la plage, ça vaut vraiment le détour.

https://picasaweb.google.com/111641867309192017609/PhoquesPica?authuser=0&authkey=Gv1sRgCJ-xwIqjtNDDBA&feat=directlink

 

Autre jour, autre destination, nous arrivons sur le site de la célèbre Dame Blanche du Brandberg, Patrizia sera notre guide, 5 km à pied aller et retour, pour découvrir sous un abri cette dame qui est au milieu d’une sorte de scène de chasse, elle mesure 40 cm et le bas de son corps est blanc. Notre guide nous explique qu’en fait ce n’est pas une femme mais une sorte de chaman et que ce serait une cérémonie pour faire pleuvoir … allez donc savoir !

On décide de faire le tour du massif du Brandberg en suivant une petite piste qui s’est avérée très cassante, très grosse tôle ondulée, moyenne 30 km/heure, certes quelques beaux paysages, je pense qu’il faudrait être à 2 véhicules pour s’engager plus avant sur cette piste, décision est prise on s’arrête dans le bush pour passer la nuit et demain retour à UIS.

https://picasaweb.google.com/111641867309192017609/WhitLaydyPica?authuser=0&authkey=Gv1sRgCIae7PvwjsHDFg&feat=directlink

 

 

 

Namibie du 22/05 au 29/05/2013

 

Quelques gouttes de pluie durant la nuit, ce matin on retrouve le  goudron jusqu’à KEETMANSHOOP, aucun intérêt donc on a filé directement vers Kokerboom forest, très bel endroit où nous nous baladerons jusqu’à la nuit pour faire des photos du coucher de soleil.


https://picasaweb.google.com/111641867309192017609/QuiverTreesPica?authuser=0&authkey=Gv1sRgCK7buJGDpuy4IQ&feat=directlink
 
 
 
Dès 6 heures du matin, un nouvel objectif nous attend le lever du soleil sur un étrange jardin de pierres, pas mal…

https://picasaweb.google.com/111641867309192017609/RocherQuiverPica?authuser=0&authkey=Gv1sRgCNLi_q2C_bOpiQE&feat=directlink
 
 
 
La route goudronnée et monotone nous conduit jusqu’à un barrage, qui à la lecture de notre guide, paraissait très attractif mais arrivé à l’entrée du Park, on nous dit gentiment que tout est en rénovation et que nous ne pouvons pas entrer. Il se fait tard, nous décidons de dormir près d’un petit village à côté, une voiture s’arrête et une dame nous invite à venir passer la nuit dans sa propriété un peu plus loin, elle nous explique que des gens d’autres villages viennent souvent à cet endroit le soir pour boire, donc ce n’est pas un bon endroit, un couple très sympa qui nous a donné des conseils et des informations sur leur pays.

185 km de route pour arriver jusqu’à OANOB Lake, un endroit très agréable et reposant où on se pose jusqu’au lendemain, on s’offrira même un petit repas de poissons au resto.

 

https://picasaweb.google.com/lh/photo/d5HWXWX5GfXZ3urdC9jbe60U3Pa8L0q3Fx2YjdgeMEc?feat=directlink
 
 

pour la capitale WINDHOEK, on trouve un hébergement dans un backpacker tout près du centre c’est super, le camion est en sécurité car la ville a mauvaise réputation et nous sommes à 10 mn à pied du centre, en fait c’est plutôt une auberge pour jeunes voyageant sac à dos, mais ils acceptent qu’on gare le camion près de l’emplacement réservé aux tentes. On part à la découverte de la ville, nous sommes surpris que beaucoup de choses soient fermées mais, on l’ignorait, c’est un jour férié (Africa day). Windhoek malgré son titre de capitale est une grosse bourgade blottie au milieu des collines, qui bénéficie d’un climat de moyenne montagne, là encore on sent le passé germanique dans certains édifices, dans les églises, mais les bâtiments modernes ont aussi trouvé leur place. Le ministère du tourisme est fermé, il nous faudra donc attendre lundi pour avoir notre permis pour le Parc du Naukluft. Pour occuper le dimanche, nous allons au parc DAAN VILJOEN pour faire une marche de 9 km où nous verrons des troupeaux de zèbres, un peu loin dommage, des oryx et un gnou à 10 mètres de nous en train de nous observer, pas sympa il n’a pas posé pour la photo et a détalé à toute vitesse. L’après midi, nous a fait rencontrer un troupeau de gnous, des babouins et des girafes. Voilà une journée bien remplie.

 

 

 

 

 

Notre permis en poche, nous prenons la piste 28, ça monte, ça  descend dans un beau paysage de collines à perte de vue, beaucoup de poussière, des pintades et des phacochères agrémentent le paysage, grosse descente dans la BOSUA PASS mais il est 16 H et on se dit qu’il serait temps de penser à trouver l’arrêt du soir, une ferme en vue, on va demander si on peut passer le nuit ici, ok pas de problème, le fermier est en chaise roulante un de ses employés, le met au volant, il nous demande si on veut l’accompagner, il va un peu plus loin pour séparer les veaux de leur mères, les employés partent à cheval et nous voilà debout dans la caisse du pick-up à rouler à rouler dans le bush, le travail terminé nous rentrons à la ferme où nous faisons connaissance avec la fermière et nous voilà repartis cheveux au vent, il veut nous montrer la pompe qui puise l’eau à 20 mètres et le générateur qui lui fournit son électricité puis nous allons vérifier un piège à chacal, mais pas de chacal aujourd’hui, on reprend les 2 petites chèvres qui servaient d’appât, la dame nous explique bien que les chèvres sont en sécurité puisque le piège est séparé en deux parties quand le chacal rentre la porte se referme mais il ne peut pas atteindre les chèvres. Le fermier nous propose de l’accompagner le lendemain toute la journée mais nous ne pouvons pas car nous avons le fameux permis pour le parc du Naukluft dommage mais nous sommes ravis de cette rencontre avec des gens d’une simplicité et d’une gentillesse formidables.

 

https://picasaweb.google.com/111641867309192017609/FarmPica?authuser=0&authkey=Gv1sRgCL7Q1OS31d_new&feat=directlink3...

 

La piste parfois assez sablonneuse nous emmène dans un étrange paysage de roches qui nous font penser tantôt à des cerveaux, tantôt à des bas-reliefs, on continue jusqu’à BLOEDKOPPIE, mais on reviendra se promener dans les roches au coucher du soleil.


 
 
https://picasaweb.google.com/111641867309192017609/Naukluft2Pica?authuser=0&authkey=Gv1sRgCOf_25i9rNHd4gE&feat=directlink
 

 

Namibie du 16/05 au 21/05/2013

Une nuit passée au bord de la mer à ESSY BAY, le vent nous a bercé toute la nuit, ensuite retour vers LUDERITZ pour les courses, à midi on  s’est payé un petit en-cas d’huitres et de crevettes au port et le soir un resto de poissons en front de mer, elle n’est pas belle la vie …. Direction  la ville fantôme de KOLMANSKOP construite dans le désert pour les gens qui travaillaient à l’exploitation des mines de diamants mais la découverte d’un filon plus important vit le déclin et l’abandon de cette cité aux alentours des années 1950, le sable y a repris ses droits. La vision de ces maisons envahies par le sable et le fait de penser que nous entrons dans des lieus où il y avait de la vie nous procure une sensation étrange.

 

voici le lien photos sur ce sujet: https://picasaweb.google.com/111641867309192017609/KolmanPica?authuser=0&authkey=Gv1sRgCNmwwaSI7arO_wE&feat=directlink

 

 

Nous avons tellement aimé la halte près des chevaux sauvages que nous y retournons pour y passer une nouvelle nuit, le spectacle est toujours aussi magique.

Nous prenons la piste qui suit la rivière Oranje, il ya une barrière mais elle est ouverte … certains virages nous offrent une vue magnifique sur la rivière, il fait 41°3, une petite piste nous donne envie de nous arrêter au bord de l’eau, 2 hommes sont en train de pêcher avec une ficelle, un endroit de bivouac idéal. Ce matin au soleil levant le reflet de la montagne teinte l’eau en orange, c’est beau.

 

voici le lien photos sur ce sujet: https://picasaweb.google.com/111641867309192017609/OrangeEtFishRiverPica?authuser=0&authkey=Gv1sRgCNKxxt2kiN_15QE&feat=directlink

 

 

Nous prenons la direction de AI-AIS où nous nous sommes prélassés dans un spa, malheureusement couvert, qui est alimenté par une source d’eau chaude à 60°. Rencontre avec 2 jeunes français à vélo, ils viennent du Congo et vont au Cap, ensuite arrive un camion Mercedes équipé camping-car, un couple de hollandais qui sont partis pour 1 an, il ne leur reste plus que 3 mois qu’ils passeront en Afrique du sud, échange d’impressions de voyage très sympa. Nous poursuivons en direction de FISH RIVER CANYON, le 2ème canyon au monde après le Grand Canyon aux Etats-Unis, on arrive juste pour le coucher de soleil, c’est grandiose, immense, impressionnant, du coup on arrive au camping à la nuit. Le lendemain pour profiter du lever du soleil en route à 6 heures du matin pour faire les 10 km qui nous séparent du canyon, belle récompense de voir la nature immense se réveiller, balade le long du canyon et petit déjeuner avec vue…

 

le lien photos sur ce sujet: https://picasaweb.google.com/111641867309192017609/NouveauDossierCanyonFishRivPica?authuser=0&authkey=Gv1sRgCLzT-OT7gpm4ngE&feat=directlink

 

 on prend ensuite la direction de KEETMANSHOOP, on bifurque vers la piste 545 pour aller voir le barrage de NAUDE DAM et là on découvre un endroit magnifique, des rochers qui forment de petits îlots sur lesquels il y a des centaines d’oiseaux, devant nous les petits damans se cachent dans les rochers, on va passer le reste de la journée là et le bivouac, c’est super.      

 

le lien photos sur ce sujet:

https://picasaweb.google.com/111641867309192017609/BarageNaudeDamPica?authuser=0&authkey=Gv1sRgCKONsfK43rLNWQ&feat=directlink

 

 

 
 

 

 

Du 12/05 au 16/05/2013

 

Le canyon de Sesriem nous a offert une jolie balade, c’est un canyon très serré qui se termine par un trou d’eau avec des poissons.

 

https://picasaweb.google.com/111641867309192017609/CanyonSesriem?authuser=0&authkey=Gv1sRgCMLQp4rl5-SuvwE&feat=directlink

 

 

Tôt le lendemain matin nous attendons que les portes du Park National s’ouvrent pour nous élancer sur les 63 km de goudron qui nous emmènent jusqu’aux grandes dunes de SOSSUSVLEI, le soleil se lève, les couleurs animent le paysage, 2 montgolfières s’élèvent dans le ciel, c’est vrai que de là haut on doit avoir une autre vision. Le goudron s’arrête mais il reste les 5 km réservés aux 4X4 pour nous conduire jusque DEAD VLEI, un lac asséché d’où émergent des troncs d’arbres secs c’est impressionnant, c’est irréel… on a beau avoir crapahuté dans les grandes dunes de Lybie et dans celles d’Algérie la magie du désert  nous reprend c’est magique. Quelques groupes de touristes disparaissent rapidement et nous laissent seuls dans cet univers minéral, nous apprécions. Retour au camion sous 40°, les baskets remplies de sable, nous sommes contents de voir la silhouette du camion, vite une boisson fraiche…  un arbre nous accorde son ombre pour le repas de midi que nous partageons avec des dizaines d’oiseaux qui s’agitent à nos pieds nous prolongeons à souhait ce moment. Nous regagnons le camping du Parc National où nous avons un superbe emplacement avec vue sur la savane, bref une journée formidable.

Dès 6 heures, nous voici en route pour aller voir les lumières du matin éclairées les dunes rouges d’Elim à 5 km du camp, des oryx et des springboks nous montrent le chemin. Ensuite moins drôle, Claude met sa salopette pour réparer une légère fuite de gasoil. La journée se poursuit en traversant la réserve privée de NAMIBRAND, paysages superbes, les dunes sont colorées de vert par une petite herbe, les rochers sont noirs dans une immense savane jaune mais piste de grosse tôle ondulée et beaucoup de poussière … on décide de bifurquer vers la piste 707, bonne pioche, c’est plus roulant et au couchant  tout s’éclaire et se transforme, le paysage devient sublime mais le jour baisse et toujours pas d’endroit où s’arrêter, soudain un panneau et une barrière que nous ouvrons pour faire les 3 km qui nous emmènent jusqu’à une petite ferme où une dame charmante nous indique une place où nous garer pour la nuit.

 


 


 


 


 

https://picasaweb.google.com/111641867309192017609/Sossusvlei?authuser=0&authkey=Gv1sRgCNrwsIDAhLmVJQ&feat=directlink

 

Ce matin la salopette fait de nouveau une petite sortie, il faut faire un point de soudure sur la fiche de recharge du GPS et mettre un bout de bois et un morceau de fil de fer pour tenir le pot d’échappement dont une patte a lâché, c’est sûr les pistes de tôles ondulées laissent des traces… l’après midi nous enchante, 20 km après AUS, on bifurque à droite suivant ainsi les conseils de nos amis Fred et Anne, pour découvrir un bassin artificiel au milieu d’une immense plaine où viennent s’abreuver chevaux sauvages, oryx, autruches, le spectacle est tellement fantastique qu’on décide de dormir sur place on sera là pour poursuivre la féerie au lever du soleil.

Dès 7 heures du matin, des dizaines de chevaux arrivent de tous côtés en soulevant la poussière, quelques ruades près du point d’eau mais sinon tout se passe dans le silence, ils arrivent, boivent et repartent laissant la place à d’autres groupes, certains se roulent dans la poussière, les chevaux partent et sont remplacés par des dizaines de perdrix qui arrivent dans un bruyant gazouillis, bref des moments comme on les aime.

 

https://picasaweb.google.com/111641867309192017609/ChevauxSauvage?authuser=0&authkey=Gv1sRgCMiKlI3iqZWvlgE&feat=directlink

 

Il faut partir, 120 km de route goudronnée (le bonheur) nous attendent jusqu’à LUDERITZ. Surprenante petite ville au milieu de nulle part, bâtie là parce qu’il y a des mines de diamants toutes proches, qui a conservé de son époque coloniale des airs d’Allemagne, avec ses grandes bâtisses souvent colorées, son église luthérienne, les restaurants y servent même de la choucroute …

https://picasaweb.google.com/111641867309192017609/Luderitz?authuser=0&authkey=Gv1sRgCK_ProO_-NOymQE&feat=directlink

 

 

 

 

Du lundi  6/ 05 au samedi 11/05

 

le camion est sorti du port, ça nous a pris la journée mais on a réussi,
vendredi on nous avait dit de venir à 10 h, donc ce matin bien gentiment on est arrivé à 10 heures, on nous a dit de revenir à 12 h
on est allé manger 1 apfel strudel accompagné d'un milk shake glacé car il faisait très très chaud et en plus il y avait un vent de sable terrible, on est arrivé à 12h pour s'entendre dire de revenir à 14h, ils nous ont soutenu qu'ils n'avaient jamais dit 10 h, ni 12h
à 14h30 un mec est arrivé pour embarquer Claude, je suis resté au bureau car 1 seule personne est autorisée à entrer dans le port
ils sont revenus 3 fois, à chaque fois ils manquait quelque chose, finalement retour au b&b à 17h30 avec le camion comme il fait nuit à 18 h nous avons repris une nuit. Heureusement que toutes les fenêtres étaient condamnées et qu'ils n'avaient accès qu'à la cabine car ils ont arraché les 2 haut-parleurs ainsi que les porte-gobelets et vidé l'extincteur dans la cabine ......

 

Mardi, on finit de nettoyer et de ranger le camion, on fait le plein d’eau on discute encore un moment avec François et Lala, chez qui on a passé une bonne semaine et qui nous ont donné plein de bons conseils c’est promis nous resterons en contact.Mercredi, notre voyage commence enfin,  20 km de goudron à la sortie de Walvisbay et nous voilà sur une  piste en gravels, tôle ondulée, quelques herbes, quelques arbustes, nous voici dans le vif du sujet….Piste vers GOBABED qui nécessite un permis que nous avons pris hier au bureau de Nature Conservation, pour le 1er jour notre piste croise celle de springboks qui font de jolis sauts, d’oryx, d’autruches et d’outardes c’est formidable. Nous passons le Tropique du Capricorne, après quelques kilomètres désertiques le paysage change des collines brunes et ocres et nous voilà à HOMED quelques baraquements, un grand emplacement sous les arbres prévu pour des bivouacs avec barbecues, tables et sièges en pierre, c’est décidé nous passerons la nuit ici.

Jeudi, à peine repris la route plein d’animaux, nous rêvons d’avoir un véhicule électrique pour que les animaux ne s’enfuient pas à notre bruyant passage,  des springboks,  des autruches, des Zèbres, nous sommes ravis, suivent un peu plus loin un groupe de babouins et même un suricate pour le repas de midi, les paysages nous enchantent également, quand le désert est parsemé de buttes au ton oranger avec un fond de montagnes grises  c’est très beau, ce soir nous arrêterons à SOLITAIRE et c’est solitaire juste une station service, un magasin qu’on croirait sorti d’un autre  siècle et un campement où courent des mangoustes.

Vendredi, routes C14 puis 850, poussière et tôle ondulée sur le coup de midi halte à HAUCHAB FONTAIN, c’est un camp magnifiquement tenu, de grands emplacements avec barbecues et évier avec de l’eau courante tout cela chez nous est normal mais il faut rappeler que nous sommes ici dans une zone désertique, douche avec eau chaude, nous sommes les seuls clients, on demande si possibilité de balade oui il y en a 1 qui dure environ 4 heures. OK  elle vient nous chercher à 13h30 pour nous amener au départ qui se situe à 4 km, on monte dans la benne de son 4X4 avec un de ces ouvriers qui sera chargé de faire une carte de la promenade car elle n’en n’a plus…. On marche dans le lit de l’oued dans des blocs de rochers laissés là par de précédentes pluies, ça monte légèrement ensuite une montée assez raide vers le sommet d’une colline, toujours des pierres, de la caillasse, on s’arrête souvent pour faire des photos, c’est beau, des arbres à santal avec le troncs comme cirés, des arbres à carquois, ensuite la descente toujours de la caillasse qui glisse sous nous pieds, la lumière du soir nous offre des paysages aux couleurs magnifiques. Nous avons mis 3h1/2, nous sommes fourbus, soirée passée autour du feu à admirer le ciel étoilé.

Vendredi, promenade le long de la Zibra river, notre camp est tellement agréable que nous restons là pour manger à midi, puis direction SESRIEM, porte des grandes dunes du désert du Namib.

 

voici le lien pour voir d'autres photos sur ce thême: 

 

https://picasaweb.google.com/111641867309192017609/PhotosDuNaukluftNatureNationalPark?authuser=0&authkey=Gv1sRgCKzujML67OPYCQ&feat=directlink

 

 

 

 

Du 29.04.2013  au 05.05.2013

Atterrissage à 10h30 à Johannesburg, juste le temps d’aller rapidement à travers couloirs et escaliers roulants jusqu’à un bus qui nous conduit à l’avion pour Walvisbay où nous arriverons à 13h10 (heure namibienne) soit 14 h 10 en France. En résumé départ de la maison à 17 h le dimanche 28 et arrivée le 29 à 14h10 en Namibie. Le propriétaire du B&B Loubster  nous attend  et nous emmène chez lui dans sa land-rover hors d’âge, il fait 35°, visite de notre « home » une pièce avec cuisine, une chambre et une salle de bain.

François nous emmène ensuite dans les bureaux de Gorgina, notre transitaire  et là, déception le bateau est prévu pour le 2 mai au lieu du 30 avril (nous sommes le 29 avril), une visite au distributeur d’argent, maximum 2000 dollars namibiens soit environ 176 euros, quelques courses au SPAR et ensuite la galère pour retrouver notre logis car un peu léger nous n’avons pas pris l’adresse ni le n° de tel pensant que François allait nous attendre, repas rapide et au lit à 19h.

Nous marchons beaucoup car la ville est grande, visites journalières au port pour connaitre les dernières nouvelles. Personne n’a d’informations précises sur la date d’arrivée du bateau.  Mardi 30 on nous apprend que le nom indiqué sur le BL est celui de notre transitaire alors que c’est le nôtre qui doit apparaitre, il doit être changé par la compagnie maritime à Anvers, celle-ci nous informe qu’elle fera la modification après paiement de 100 euros. Heureusement qu’il y a internet, paiement fait et confirmation de paiement envoyée à Anvers dans l’heure qui suit. Ensuite  ce sont les copies de billets d’avion qu’il faut envoyer par mail à notre transitaire, et  dernière nouvelle le bateau est annoncé pour le 3 au soir comme le lendemain c’est week-end nous ne récupèrerons le camion que lundi.

Pour gagner du temps nous contactons un bureau d’assurances, il nous aura fallu 3 passages dans ce bureau pour obtenir enfin notre contrat, c’est une assurance au tiers pour un an (pas moins) qui couvre la Namibie mais aussi le Botswana, Zimbabwe, Malawi, Mozambique, Afrique du sud, Lesotho, et Swaziland.

Nous passons  de bons moments à découvrir Walvisbay et ses environs, nous nous baladons le long de la lagune tout près de centaines de flamants roses, il y a aussi les petits lacs de « birds paradise » dans les dunes à l’entrée de la ville qui nous offrent le spectacle merveilleux de milliers de flamants roses, quelques pélicans et autres goélands.

Maintenant nous attendons lundi avec impatience …

 

voici le lien pour voir d'autres photos sur ce thême: 

https://picasaweb.google.com/111641867309192017609/FlamantsWalvisbay?authuser=0&authkey=Gv1sRgCK3ohIu-o4qFkwE&feat=directlink

 

 

 

 

Le 29 avril 2013

après notre long trajet en avion sans problème avec juste un départ retardé d'une heure et demie à Londres, nous sommes arrivés à Walvis bay le propriétaire du B&B que nous avions réservé nous attendait à l'aéroport distant d'environ 12 km de la ville, la ville est très étendue, de belles maisons, on a été étonné on s'attendait à trouver une petite ville.
les chambres de notre B&B se situent à l'arrière de la maison du proprio, il y a 3 chambres, chaque chambre a un porte fenêtre qui ouvre sur une cour avec table et chaises, accès au à la salle à manger et barbecues, dans notre chambre à l'entrée cuisine puis chambre et douche et wc, très simple mais suffisant pour quelques jours
nous sommes allés au bureau de l'agence portuaire et mauvaise nouvelle le bateau n'est prévu que pour le 2 mai, si tout va bien,
il va falloir s'armer de patience ...